Hôtel-Dieu de Clermont-Ferrand....
L’Hôtel Dieu
Sis à l’autre bout du plateau central, l’Hôtel Dieu rend écho à la cathédrale Notre-Dame de l’Assomption. Construit, si ce n’est dans un style semblable car plus ancien, dans la même pierre, en 1773, il vient remplacer l’ancien Hôpital de la Charité qui occupait les mêmes terrains.
Ouvert sur deux hectares d’espaces verts, orientés en direction de Puy-de-Dôme, il répond à une volonté d’hygiène accrue, face à l’exigüité et à l’insalubrité des autres hôpitaux clermontois. Les salles communes qui l’occupent bénéficiaient d’une excellente ventilation, parfois trop importante : on les appelait souvent les salles des courants d’airs ! La présence des espaces verts, aujourd’hui occupés par l’adjonction de nouveaux bâtiments au style plus ou moins flatteur et de parkings, permettait aux malades de longues promenades de convalescence.
Si aujourd’hui l’Hôtel Dieu n’est pas considéré comme un modèle architectural, c’est certainement en raison de son mauvais état général, et également à cause de la construction, notamment au 19ème siècle, de nouveaux bâtiments, que l’on voulait fonctionnels avant d’être beaux. Toutefois, l’entrée principale et la cour intérieure et leurs façades respectives sont restées intactes, ainsi que certaines salles.
Réservé aux pauvres, mendiants, enfants et prostituées, et gérés par des congrégations religieuses, comme tous les hôpitaux de l’époque, l’Hôtel Dieu deviendra pendant la Révolution le Grand Hospice de l’humanité souffrante. Ce n’est qu’à la fin du 19ème siècle qu’il deviendra un véritable hôpital médico-chirurgical.
Il fait aujourd’hui partie du Centre Hospitalier Universitaire de Clermont-Ferrand, et accueille un nombre importants de services, notamment de pédiatrie et de chirurgie infantile. Sur la même parcelle, se sont également bâtis la Polyclinique Philippe Marcombes et la Faculté dentaire.
Voué à fermer ses portes en 2010 en raison de la construction d’un véritable pôle mère-enfant sur le site du nouvel hôpital d’Estaing, plus moderne, son sort n’est pas encore fixé.
Il a fait l’objet d’un concours de jeunes architectes en 2007, quant à sa réhabilitation. En effet, rappelons qu’il occupe une superficie de plus de deux hectares en hyper-centre. Les dernières rumeurs voudraient qu’il devienne la future grande bibliothèque qui devait au départ se tenir dans les locaux de l’ancienne gare routière, qui elle accueillera la Comédie. Espérons simplement que les bâtiments les plus beaux soient conservés, et que l’ensemble soit mis en valeur.
Les gangs de rue à Calgary en Alberta !Le photographe Michel Denis-Huot à prit ces photos au Henya Masai
Ce sont des gangs de rue avec lesquels les habitants de Calgary doivent vivre...
C'est en problème bien différent des autres villes.
C'est la preuve que chaque ville a son propre problème de gang de rue.
Ils se tiennent même dans les meilleurs quartiers de la ville....Ne sont-ils pas magnifiques!!!????
Le roi du sifflement......
Poniatowski un visionnaire ? Pas une virgule à retirer : Beaucoup trop tard.....
Ministre giscardien, Michel Poniatowski, écrivait dans son livre une conclusion dont on ne voit pas quelle ligne on pourrait changer 21 ans plus tard :
Cette âme, la France est en train de la perdre,non seulement à cause de la mondialisation, mais aussi,et surtout,à cause de la société à la fois pluri-ethnique et pluri-culturelle que l'on s'archarne avec de fusses idées et de vrais mensonges, à lui imposer. Si cet essai a permis à queques-uns de mesurer devant quels périls nous nous placés, il aura déjà atteint son but.(...)
Ces pages peuvent apparaître cruelles. Mais elles correspondent à un sentiment très profond. Le moment est venu de traiter énergiquement le problème de l'immigration africaine et notamment musulmane.
Si tel n'est pas le cas, la France aura deux visages : celui du " cher et vieux pays " dont parle le Générale de Gaulle et celui du campement avancé du tiers monde africain. Si nous désirons voir les choses dégénérer ainsi, il suffit de leur laisser suivre leur cours. Le campement africain toujours plus grand, plus vaste, plud illégal, grignotera d'abord, puis rongera,avant de faire disparaître tout entier le cher pays, dont la défaite sera annoncée du haut des minarets de nos nombreuses mosquées. Nos temps sont assez graves pour ne pas faire appel à de médiocres facilités politiciennes.Nous allons vers des Saint-Barthélémy si l'immigration africaine n'est pas strictement contrôlée, limitée, réduite et expurgée de ses élément négatifs et dangereux, si un effort d'intégration ne vient pas aussi compléter cette nécessaire répression.
Les mesures à prendre sont sévères et il ne faudra pas que le vieux pays frémisse de réprobation chaque fois qu'un charter rapatriera des envahisseurs illégaux. Il faut donc ainsi que ce cher vieux pays restitue à l'état sa place normale. Les libéraux l'ont affaibli, les socialistes l'ont détruit.
Où sont les grandes tâches dévolues à l'état ?
La Justice, l'Armée, l'Education nationale, la Police, la Sécurité, notre place en Europe ? En miettes.
La France est à l'abandon, est en décomposition à travers le monde.
Sa recomposition est dans un retour énergique à l'unité et à la cohérence, et de la Nation et de l'Etat.