Photo rare prise en 1918 avec tous les hommes qui sont partis à la guerre....:Combien en sont-ils revenus....?
Les chiens de Denis.....
Un vendredi 11, Denis à ramassé 2 chiens qui erraient sur la route, ils les à emmenaient chez lui. C'était un caniche et un tout petit, sans races, qui faisait peine à voir, car c'est tout juste qui tenait sur ses jambes...On les fait manger, tout de suite ça allait mieux.Ils étaient chez eux.....Le lundi, Denis à téléphonait à la mairie.
Les orgues de la cathédrale de Périgueux...
Le château......
Bâti au seizéme siecle, le château de Monbazillac est classé monument historiqe. Il présente une architecture unique et originale, reflet d'une rencontre harmonieuse entre le modèle militaire médièval et les élègances de la renaissance.
Le château situé au milieu d'une immense mer de vignes surplombe un magnifique panorama de la vallée de Bergerac où coule la Dordogne, célèbre"rivière espèrance".
Dans les salles du château, des expositions permanentes aident à la découverte de l'histoire locale et régionale à travers différents aspects dont, bien sur, la vigne et le vin.
C'est mon gendre qui à pris une photo (de face), de nuit car le math de Quentin finissait à 5 h, celui de côté, c'était le crépuscule, c'est moi qui est prise.
Les rue de Périgueux.......son marché....etc
Les poux adorent le saumon.......
Voilà une raison de plus pour se régaler de saumon industriel. On savait déjà que la bestiole d'élevage qu'on nous sert à table n'est pastoujours trés ragoûtante. Petit rappel pour ceux qui l'auraient oublié : avant d'atterrir dans notre assiette, le saumon industriel, qui atteint ses 6 kilos en deux ans, soit deux fois plus vite que son cousin sauvage, à été sélectionné génétiquement pour faire du gras et nourri de granulés énergétiques contitués de farines de poisson agglomérées avec de huile de palme. Une pitance assaisonnée au colorant pour lui rosir la chair. Pour qu'il n'attrape pas la première méchante bactérie qui passe dans les cages surpeuplées-comptez 25 kilos de saumons par mètre cube-, l'éleveur l'a régulièrement traité à coups d'antibiotiques. Et, comme l'opération est tressante, on lui a filé un peu d'anesthésiant, puis redonné un coup de fouet avec une cure de vitamines c.
Les braves bêtes servies fumées ont droit, après, après électrocution, à un saumurage express par injection d'eau salée dans les chairs et un badigeonnage de fumée liquide artificielle. Hum, c'est bon...!
Voilà qu'on apprend maintenant que chaque fois qu'on avale une bouchée de saumon inductriel on assassine des saumons sauvages. La faute aux poux de mer, qui infestent les fermes immergées le long des côtes et sautent sur tous les poissons sauvages qui passent à côté des cages. Ces terreurs de 3 millimètres vous tuent un poisson en moins de deux, en lui épluchant la peau. Des chercheurs canadiens viennent de prouver que s'il y a de moins en moins de saumons sauvages en Atlantique c'est la faute de ces poux de mer échappés des élevages de salmonidés (National Academy of Sciences of the USA, août 2011).C'est aussi à cause d'eux que les saumons d'élevage- nous en avalons près de 2 kilos par an, ce qui nous hisse à la deuxième place mondiale - sont régulièrement trempés dans un bain antiparasitaire.
Bon appétit quand même..!