Je vous

                                 Le coeur d'un homme, d'un père ....Voilà ce qui devrait faire les manchettes au lieu de tout ce qu'on montre de peu d'importance.

                                Cette histoire est dure, mais tellement réconfortante pour le coeur, quand on regarde cette photo de Jhon Gebhardt en Afganistan.

                                L'épouse de Jhon Gebhardt, Mindy, dit que la famille entière de cette petite fille a été exécutée. Les insurgés voulaient la tuer aussi et lui ont tiré une balle dans la tête....mais heureusement ils ont raté leur coup et elle n'est pas morte. Elle fut soignée à l'hôpital de Jhon et est en voie de guérison même si elle pleure et se plaint.

                                Les infirmières ont dit que Jhon est le seul à pouvoir la calmer, alors Jhon a passé les 4 dernières nuits à la tenir dans ses bras et les deux dormirent sur cette chaise. La petite se remet lentement. Jhon est un véritable héros de la guerre et il représente ce que l'occident tente de faire là bas.

Ca, mes amis, ça vaut la peine d'être partagée avec le reste du MONDE. Allez-y !!!! Vous ne verrez jamais une telle chose dans les nouvelles. Gardez la nouvelle en marche. Rien n'arrivera si vous ne le faites pas, mais le monde a besoin de voir ces photos comme celle-ci et a besoin de réaliser que nous faisons la différence....même si petite fille à la fois.

FAITES-LUI FAIRE LE TOUR DE LA TERRE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

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                            Retour à Fort de L'Eau,( Borj el Kiffan ), pas loin d'Alger, mon mari travaillant  à Alger, et là, j'attendais un enfant, J'étais grosse et il fallait que le petit vienne.....!  Enfin, il est venu, le 6 mai 1968 et il pesait 3kg 860, quel soulagement...Il est né à Alger et il s'appelle Frédéric.

Au bout de 6 mois, retour en France, avec mes deux petits, Gaby allait un chantier à Tindouf

Aprés ça, en 1969, nous sommes aller à Segré(49).

Frédéric, André et petit Pierre.

  Deux ou trois dimanche, Maïz venait me chercher, et il prenait André sur ses genoux, se mettait à droite, et pendant que moi je roulais, il faisait la sieste, tous les deux.....Maïz attendait sa femme de Ghardaïa et j'attendais Gaby qui devait venir de Tindouf, tous les quinze jours, voir 3 semaines, je faisais 200 ou 300 kms, on allait dans les villages et nous accueillir dans la joie, il faut dire, que sont très heureux quand on va les voir ces femmes et ces hommes......Et ils nous leur thé, qui est très bon. Et puis on rentrait, content de nôtre journée et ça nous faisais queque chose à racontait à Gaby.

                                       Voilà ce que l'on voit, des femmes porteuses d'eaux. Elles arrivent avec des fûts,des seaux, des guerbas, tout ce qui transportait l'eau......Les "guerba" sont  faites avec de la peau de chèvre.

                                    Nous devions partir de la Colonne Voirole car Gaby partait pour le Foum El Kheneg, au sud de Beni-Abbès, faire un chantier. En avant pour Sauxillanges où avons un appartement. Ce devait être en 1967/68.

Au mois de février 68, nous voilà repartis pour le continent Africain, en prenant une caravelle à Marseille via Alger. A Alger nous devions prendre un DC10 pour aller à Colomb-Béchar. J'étais malade, parce que çà bougeait "vachement" et j'étais enceinte de Frédéric. Heureusement Alger/Colomb-Béchar, c'était pas loin..

Nous avions retrouvé Gaby qui nous a conduits au 4 éme étage d'un immeuble, Cest là que nous devions rester 2 mois. Là nous étions loin de la ville....je prenais André par la main, et nous avions pas loin de 2 kms pour aller à la ville. Nous allons dans café appellé chez "Mestre" et là on voyait Sheila, Nancy Halowez, Adamo.....etc, sur une tv.  On allait voir des femmes d'ouvrier qui habitait Colomb-Béchard, c'était bien et André aimait beaucoup. On le faisait tous les jours.

Voilà l'immeuble ou nous habitions.

                             On a été heureux à la Colonne Voirole, André était entouré de Chistine et de Karine, deux petites filles qui habitaient la villa d'à côté, qui avaient le même jardin clos et qui était gardé par Moctar.

     Après avoir accouché, j'ai laissé le bébé à ma mère, un mois plus tard et je retourne à Alger voir Gaby. Il fallait que l'on trouve un appartement. Et on a trouvé, c'était à la Colonne Voirole, on a dû y rester un an.

                             C'était à Paul-Gazelles ou avait un marchand, qui venait d'Alger et qui vendait du poisson et moules. Alors j'ai fait le plein de poisson et de moules.....!  On en a mangé pendant 3 jours.

Un matin, je me lève, mon visage avait gonflé, j'avais des petit yeux et je me demandais se qui m'arrivée....alors je suis allée voir un Docteur à Ghardaïa. Il m'à dit, ce n'est rien (il y avait pas de monde dans la salle) et il m'a laissée repartir. Rentrée en France, à 6mois 1/2 de grossesse, je n'avais personne, sauf ce Docteur à Ghardaïa. André est arrivé à 7mois 1/2 de grossesse et n'à jamais été malade. ( je toute de bois.) Même de ce jour ou j'ai été empoisonner par les "moules", je reste encore allergique à l'iode.

Quand on allait et chez le boucher, d'abord c'était dehors, sur un tronc d'arbre, et le boucher  devait enlever les mouches pour nous couper queque chose. Mais on avait l'habitude......

                   Pendant ce temps passait à la Pérouse, on à des amis venus de Ghardaïa, des amis d'Issoire .Ils étaient instituteurs, femme et mari. On est allés voir les ruines de Tipasa.

         Après Paul-Gazelles, nous sommes aller à la Pérouse, 25 kms d'Alger. Moi je continuais à grossir, il ne pas oubliait que j'étais enceinte depuis le 25 décembre 1963.

A la Pérouse,nous sommes restés que 2 mois, mon mari travaillais à Alger et le week-end, il allait à la pêche et il me ramenait du poisson, de mer.  Et moi ça me rendais malade.......

On entendait, partout, Adamo "tombe la neige", il avait une jeune fille au restaurant de la Pérouse qui l'imitait très bien.

                                             Après être resté à Ghardaïa une quinzaine de jours, au dépôt de Ghardaïa, départ pour Paul-Gazelles, ils avaient 200 hommes qui attendaient pour refaire une piste d'avion.  J'étais la seule femme parmi ces hommes. J'ai habitée dans une roulotte, qui était bien aménagée même si l'extérieur laisse présager du contraire et c'est pour 3 mois, environ. Il y avait quelqu'un pour m'amener faire des courses, qui était à 2 ou 3 kms de la base ou nous étions et c'est comme ça ou j'ai attendu André.......

Ben Isguen.

Bounoura.